On en parle dans la presse...

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30 Juillet 2020

L’Art Vues : Fikas en atelier-exposition à muRum à Montpellier jusqu’au 1er août
Jusqu’au 1er août, muRum, lieu artistique montpelliérain, propose de découvrir l’artiste Fikas. L’artiste accueille le public dans son atelier éphémère au sein des ateliers de muRum et réalise une performance grand format et en live, sous les yeux du public ! « Les œuvres de Fikas s’inscrivent dans l’univers de l’art instinctif qui va volontiers puiser dans les profondeurs de l’être.Les mains, omniprésentes, témoignent de l’importance du geste, délié et sensuel, du mouvement qui caractérise la vie, corps et âme.Pour Fikas, le point de départ est toujours la résonance que suscite une attitude, une gestuelle, ou l’éclat d’un regard.

Le fracas des couleurs fait jaillir la puissance des sentiments. Fikas capture ainsi l’émotion, et non ses conséquences. Elle l’offre entière en partage. Et c’est ce mélange de mouvement et d’équilibre, de spontanéité et d’épure qui fascine, provoquant ce temps d’arrêt, capturant définitivement l’œil de celui qui s’y pose. »

Plus d’informations : murum.fr

26 Juillet 2020

Metropolitain : Exposition à Montpellier : à la découverte de l’univers de Fikas, au muRum

Durant toute une semaine, Fikas va accueillir le public dans son atelier éphémère au sein des ateliers du muRum. Une exposition visible le dimanche.

Dédié à la création artistique sous toutes ses formes, le muRum accueille l’artiste Fikas et offre à voir, pendant une semaine, son univers et son processus créatif.

Une performance grand format en live sera réalisée pendant la durée de l’exposition. L’occasion, aussi, de la rencontrer. Une vingtaine d’oeuvres seront visibles, allant de la reproduction au grand format.

Des œuvres parlantes

Le travail de Fikas s’inscrit dans l’univers de l’art instinctif, qui puise dans les profondeurs de l’être. Les mains, omniprésentes dans ses oeuvres, se posent comme un témoin de l’importance du geste, délié et sensuel, du mouvement qui caractérise la vie, corps et âme.

Sa série « Just the soul » représente, pour l’artiste, l’essence même de ce qu’elle choisi de montrer dans son art. « Il s’agit d’un focus sur un état d’esprit à un instant T. J’essaie de faire ressentir la vie qu’il y a derrière une gestuelle de mains où dans un portrait. Ce ne sont pas des poses mais plutôt une capture de leur âme », explique-t-elle.

Faire passer des messages positifs

« Je représente soit des moments de vie, soit je détourne des gestuelles pour dire autre chose, pour tenter de faire passer des messages positifs. Concernant les portraits je pars sur des regards lourds de sens comme si on pouvait imaginer ce que la personne voit où pense … C’est comme une fenêtre sur une autre vie. Par la suite je m’amuserai avec des poses plus suggestives. Comme pour les mains, ce sont en quelque sorte des marionnettes », ajoute Fikas.

Pour Fikas, le point de départ est toujours la résonance que suscite une attitude, une gestuelle, ou l’éclat d’un regard. L’aspect très coloré de ses oeuvres renvoie à la puissance des sentiments dépeints. De cette façon, l’artiste saisi l’émotion et non ses conséquences. Elle l’offre entière en partage.

Le mélange subtil que présentent les oeuvres de l’artiste entre spontanéité et épure, mouvement et équilibre, provoque un temps d’arrêt qui saura, sans doute aucun, capturer l’oeil de celui ou de celle qui le regarde.

> Exposition à voir tous les jours jusqu’au samedi 1er août inclus, de 14h à 20h, au muRum, 5 rue d’Aubeterre à Montpellier. Le musée est ouvert de 10h à 20h, mais l’expo n’est pas ouverte au public de 10h à 14h. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site internet de muRum ou sur les réseaux sociaux @muRum.montpellier

17 Juillet 2020

My Mag Montpellier : FIKAS

muRum, accélérateur de particules artistiques présente l’exposition de FIKAS.

Pour l’évènement, FIKAS vous accueille dans son atelier éphémère au sein des ateliers de muRum, un lieu entièrement dédié à la création artistique sous toutes ses formes…

FIKAS réalisera tout au long de la semaine une performance grand format en live sous vos yeux.

C’est une occasion unique de découvrir son univers, son travail, de suivre l’avancement de la réalisation d’une de ses œuvres et de rencontrer l’artiste…

L’ ARTISTE

« Les œuvres de Fikas s’inscrivent dans l’univers de l’art instinctif qui va volontiers puiser dans les profondeurs de l’être. Les mains, omniprésentes, témoignent de l’importance du geste, délié et sensuel, du mouvement qui caractérise la vie, corps et âme.

Pour Fikas, le point de départ est toujours la résonance que suscite une attitude, une gestuelle, ou l’éclat d’un regard. Le fracas des couleurs fait jaillir la puissance des sentiments. Fikas capture ainsi l’émotion, et non ses conséquences.
Elle l’offre entière en partage. Et c’est ce mélange de mouvement et d’équilibre, de spontanéité et d’épure qui fascine, provoquant ce temps d’arrêt, capturant définitivement l’œil de celui qui s’y pose. »

17 Juillet 2020

Le Mouvement : Montpellier, l’exposition« Just the soul » de Fikas
Montpellier. Occasion unique de découvrir l’univers, et le travail de Fikas, dans son atelier éphémère au sein des ateliers de muRum, un lieu entièrement dédié à la création artistique sous toutes ses formes.L’artiste est capable d’imposer aux couleurs une véritable chorégraphie qui fait jaillir une capacité puissante d’attachement avec son oeuvre. Hypnose, un peu ! Fikas capture l’émotion, dans une harmonie de mouvements et d’équilibres, qui fascine et provoque un instant d’éternité, véritable cadeau artistique et culturel à tous les visiteurs, et aux acheteurs.Occitanie, Fikas : une artiste incontournable et passionnante.

21 Juin 2020

MuRum. « Poèmian Rapsody », septième exposition virtuelle à 360° avec Nutsy

Depuis le début du confinement, le MuRum, lieu d’art près de Boutonnet à Montpellier continue de partager et d’entretenir le lien entre les artistes exposés et le public.

« Poèmian Rhapsody » marque, déjà, la septième exposition virtuelle 360°. Les expositions au MuRum, à Montpellier, dont il est ici question ont été initiées depuis les premiers jours du confinement.

À travers elles, MuRum a pu, avec succès, maintenir et accroître le lien précieux qui doit exister entre artistes et publics. Et cette fois-ci, ce sont les oeuvres de Nutsy, qui sont à découvrir ou à admirer à nouveau. Bon à savoir : c’est ouvert le dimanche jusqu’à 20h.

De la magie des mots

Adepte du Calligraffiti, Nutsy a su développer sa propre écriture afin de mettre en lumière les poèmes qu’il aime ou qu’il compose. Ce dernier est convaincu de la magie des mots, quand ils sont couchés sur un support.

Sa démarche puise ses ressources dans l’Art Sacré, le Street-art, les Arts premiers et tous les arts qui ont pour vocation l’élévation de l’Homme.

Explorer, voyager, redécouvrir

Explorer les liens entre graffiti, calligraphie, textes sacrés et arts premiers.

Voyager sur les supports trouvés au hasard du chemin, au grès des matières et des lignes.

Art, écriture et magie se rencontrent pour creuser des sillons, redécouvrir le poids des signifiants des origines.

L’intention des premiers créateurs, celle de conjurer les peurs, de mettre en lumière la poésie et la mélodie des mots.

Un acte d’engagement

Pour l’artiste, la peinture est également un acte d’engagement : « Mon parcours m’a permis de réaliser que les luttes
frontales, violentes  sont vouées à l’échec. Après les révolutions, aussi belles qu’elles aient pu être, viennent les hommes. Face au pouvoir, à l’argent, à leur égo, revient la bestialité, l’injustice et la violence. Je suis donc convaincu que c’est l’homme qu’il faut essayer de changer. En le rendant plus sensible, en l’ouvrant à de nouveaux horizons, en le reconnectant avec des émotions positives. C’est la raison pour laquelle j’essaie, à ma mesure, de semer de la poésie et des couleurs partout autour de moi. ».

30 Mai 2020

« Poèmian Rhapsody » de Nutsy, à découvrir (virtuellement) au muRum
Et si on profitait du déconfinement pour découvrir le travail de Nutsy ?Malgré le « déconfinement » partiel, est-il possible de se résoudre à ne plus découvrir de nouveaux artistes ? La réponse est encore et toujours : non. Et la galerie muRum l’a bien compris en proposant une 7e exposition virtuelle 360° : « Poèmian Rhapsody » de Nutsy, à découvrir directement depuis chez soi.Grand adepte du Calligraffiti, l’artiste Nutsy a développé sa propre écriture pour mettre en lumière les poèmes qu’il aime ou qu’il compose. Un artiste, à découvrir !Comme l’explique Nutsy, « ma démarche est axée autour de 2 piliers : – l’acte de peindre qui est pour moi vital et beaucoup plus intéressant que le résultat. J’aime cette sensation de décoller de soi, de partir en voyage sans savoir où on va. C’est aussi la raison pour laquelle, pendant très longtemps, je ne gardais pas ce que je peignais. – le désir de mettre de la couleur sur des mots avec l’espoir qu’une fois terminé, le tableau aura acquis leur pouvoir magique. […] Pour moi la peinture est également un acte d’engagement. Mon parcours m’a permis de réaliser que les luttes « frontales », « violentes » sont vouées à l’échec. Après les révolutions, aussi belles qu’elles aient pu être, viennent les hommes. Face au pouvoir, à l’argent, à leur égo, revient la bestialité, l’injustice et la violence. Je suis donc convaincu que c’est l’homme qu’il faut essayer de changer. En le rendant plus sensible, en l’ouvrant à de nouveaux horizons, en le reconnectant avec des émotions positives. »« Amis artistes, acteurs artistiques et culturels, amoureux de la création artistique sous toutes ses formes » vous êtes invités à exposer (virtuellement) à la galerie muRum, pendant toute la durée du confinement.En pratique, la galerie lance un appel à projets, auprès des « amis artistes », « pour nourrir ces jours prochains de nouvelles expositions virtuelles et permettre à chacun de s’immerger dans la richesse des univers artistiques qui sont les vôtres. »

Il est possible de contacter la galerie directement par courriel à : artiste@murum.fr

13 Mai 2020

Montpellier : les expositions virtuelles du muRum

Le muRum accueille habituellement des artistes dans le quartier des Beaux-Arts pour des résidences, des performances, des ateliers…

L’équipe du muRum (5 rue d’Aubeterre), met en place des expositions virtuelles avec la “volonté de proposer de nouvelles nourritures artistiques à vos appétits gourmets ou gourmands, et de mettre l’Art en partage et au cœur de la vie”.

La dernière en date est celle de Fikas : “Just the Soul” que vous pouvez visiter à 360 ° ici.

Les autres expositions virtuelles à découvrir :

– “Je suis, nous sommes…” de Crying Sailor : l’exposition à 360 °

– “Face 2 faces” de Labaud : exposition à 360 °

– “Ce qui nous lie” de Mahé : exposition à 360 °

– “Spectro” de Ludovic Finck : exposition à 360 °

– ” “Je” de “maux” ” de Cynthia Portemer : exposition à 360 °

Appel à projets

L’équipe du muRum lance un appel à projet pour nourrir ces jours prochains de nouvelles expositions virtuelles et permettre à chacun “de s’immerger dans la richesse des univers artistiques qui sont les vôtres”.

Vous pouvez envoyer votre book en version numérique (photos et textes) par mail à artiste@murum.fr.

11 Mai 2020

« Just the Soul » de Fikas, à découvrir (virtuellement) au muRum
Et si on profitait du confinement pour découvrir le travail de Fikas ?Malgré le « déconfinement » partiel, est-il possible de se résoudre à ne plus découvrir de nouveaux artistes ? La réponse est simple non. Et la galerie muRum l’a bien compris en proposant une nouvelle exposition : « Just the Soul » de Fikas, à découvrir directement depuis chez soi et en 360.C’est peut-être Fikas qui présente le mieux son travail, « la BD m’a toujours impressionné par la variété des graphismes, mais aussi comment faire entrer dans une
seule petite case l’histoire des personnages grâce à la communication non verbale. […] Concernant la peinture, on m’a poussé dedans en 2014, en m’inscrivant à un concours et depuis je n’ai plus lâché l’affaire. Capter l’intensité d’une émotion passe par le langage corporel à un instant précis et fugace. […] Il y a une part de spontanéité lorsque les couleurs prises au hasard sont posées dans un mouvement pouvant créer un accident, une part de contrôle quand je construis une profondeur plus académique, exaltant des contrastes appuyés. […] Ce sont toutes les histoires cachées derrière nos gestes, nos
attitudes et comportements qui m’inspirent. Cela peut aller très loin, car nous sommes conditionnés par notre éducation, notre milieu socioculturel, nos croyances, nos principes … Parler sans utiliser de mots, au final cela rejoint mon culte pour la BD ».En pratique, les œuvres de Fikas s’inscrivent dans un univers instinctif, où sont omniprésentes les mains, témoignage de l’importance du geste, délié et sensuel, du mouvement qui caractérise la vie, corps et âme.« Amis artistes, acteurs artistiques et culturels, amoureux de la création artistique sous toutes ses formes » vous êtes invités à exposer (virtuellement) à la galerie muRum, pendant toute la durée du confinement.En pratique, la galerie lance un appel à projets, auprès des « amis artistes », « pour nourrir ces jours prochains de nouvelles expositions virtuelles et permettre à chacun de s’immerger dans la richesse des univers artistiques qui sont les vôtres. »Il est possible de contacter la galerie directement par courriel à : artiste@murum.fr

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21 Avril 2020

« Spectro » de Ludovic Finck, à découvrir (virtuellement) au muRum
Et si on profitait du confinement pour découvrir le travail de Ludovic Finck ?Malgré le confinement devenu nécessaire, est-il possible de se résoudre à ne plus découvrir de nouveaux artistes ? La réponse est simple non. Et la galerie muRum l’a bien compris en proposant une nouvelle exposition : « Spectro » de Ludovic Finck, à découvrir directement depuis chez soi et en 360.Ludovic Finck est un musicien et designer sonore, à travers son travail, l’artiste explore le domaine de la création sonore mêlant les arts numériques aux sons bruts de la nature et des instruments acoustiques. Après avoir étudié la composition musicale ainsi que la guitare jazz, il s’est tourné vers la musique concrète et électronique lors de ses études en design sonore « création art et patrimoine ».Membre fondateur du collectif « Le Boucan », il valorise le patrimoine culturel par la création sonore ou musicale. À travers le projet Spectro, il s’initie à la création visuelle en captant des instantanés sonores du monde qui nous entoure, jouant avec les sens : la vue et l’ouïe…Pour Ludovic Finck, le projet Spectro est né de la volonté de rendre visible le son, de le saisir, de le capturer pour le figer à l’aide d’un spectrogramme. Le spectre sonore ainsi révélé permet de modéliser des visuels à partir de l’audio.« Amis artistes, acteurs artistiques et culturels, amoureux de la création artistique sous toutes ses formes » vous êtes invités à exposer (virtuellement) à la galerie muRum, pendant toute la durée du confinement.En pratique, la galerie lance un appel à projets, auprès des « amis artistes », « pour nourrir ces jours prochains de nouvelles expositions virtuelles et permettre à chacun de s’immerger dans la richesse des univers artistiques qui sont les vôtres. »

Il est possible de contacter la galerie directement par courriel à : artiste@murum.fr

21 Avril 2020

Coronavirus. Montpellier : malgré le confinement, le MuRum continue de plus belle son activité

Le lieu d’art Montpelliérain et ses artistes continuent de partager leurs inspirations, leurs œuvres et de stimuler la participation du public, même à distance.

À l’heure où chacun doit rester chez soi et ne peux plus se déplacer dans les musées, plusieurs institutions ont fait le choix de s’inviter à domicile. C’est notamment le cas de MuRum, lieu d’art Montpelliérain qui réunit des artistes issus de divers univers artistiques.

Des expositions virtuelles à 360°

Les expositions virtuelles de quatre artistes sont proposées, à savoir : Labaud avec « Face 2 Faces », mais aussi Mahe avec « Ce qui nous lie », Crying sailor avec « Je suis, Nous sommes… » et enfin la dernière en date « Spectro », de Ludovic Finck. Pour y assister, il suffit de se rendre sur le site internet du musée, puis de sélectionner l’artiste désiré(e). On y retrouve alors un plus ou moins bref paragraphe sur la démarche artistique derrière l’exposition, puis les oeuvres.

À propos de ces dernières, Pablo Néry, co-fondateur du lieu explique sa démarche : « L’idée est toujours de faire rentrer le public dans l’univers de l’artiste à travers ses œuvres… De garder une certaine proximité entre l’artiste, ses œuvres et le public, ce qui est l’essence même de MuRum ».

Une webradio

Nouveauté pour le musée : une webradio a été créée pendant le confinement. On y retrouvera des rencontres de toutes sortes. Des moments avec des femmes, des hommes porteurs d’une certaine vision du monde. Il faudra aussi s’attendre à découvrir des univers artistiques variés, ainsi que la proximité d’initiatives culturelles et, bien-sûr, artistiques.

« En cette période de confinement, le contenu sera peut-être un peu plus restreint que dans une période normale du fait que nous ne pouvons pas recevoir dans le studio de la radio et que l’ensemble des manifestations ont été annulées, mais pour autant, nous souhaitons d’autant plus mettre en avant les artistes, les expositions, les festivals, victimes de la crise, afin qu’à l’issue du confinement, le public ait envie de consommer de l’art et de la culture… », explique Pablo Néry.

Comment y accéder ?

Pour écouter les émissions qui seront diffusées sur la webradio, il faudra se munir d’un smartphone, d’une tablette ou d’un ordinateur. Ensuite, rendez-vous sur radio.murum.fr et lancez le player. Le co-fondateur du musée sera l’animateur et les invités participeront via Skype. « À l’issue du confinement, nous serons rejoints par des artistes issus de différentes disciplines et … d’autres surprises ! », ajoute Pablo.

Un livret de coloriage par des artistes

Avis aux amateurs du genre : des artistes ont créé un livret de coloriage. « Notre volonté est que le public s’empare de ces dessins et qu’il laisse libre cours à son imaginaire. Les participants peuvent nous retourner les coloriages afin que nous puissions les partager auprès de notre communauté », précise Pablo. Ce B.O.C.A (Book Of Colors Arts), offre en effet un cahier d’œuvres de styles différents à colorier.

Les dessins en question sont ceux de Amme, illustratrice ; Crying Sailor, street artiste bien connue du paysage artistique local ; Fréderic Leria, illustrateur et dessinateur de BD ; Lerangdhonneur, street-artiste, et Tussock Studio, illustratrice. D’autres planches sont en cours de réalisation pour l’heure, et viendront s’ajouter aux premières mises en ligne. Pour les retrouver, rendez-vous à la page consacrée sur le site internet de MuRum.

Pour en savoir plus : murum.fr 

8 Avril 2020

La Gazette de Montpellier – Des oeuvres d’artistes à colorier

MuRum, atelier artistique du quartier des Beaux-Arts lance B.O.CA. (Book of Color art), un cahier numérique d’œuvres d’artistes à colorier.

Comment ça fonctionne ?

1.Vous allez à l’adresse https://www.murum.fr/boca/.
2. Vous choisissez l’une des quinze œuvres en noir et blanc à colorier
3. Vous l’imprimez
4. Vous la coloriez

Parmi ces œuvres : de l’art déco, mais aussi des vues de Montpellier.

7 Avril 2020

Le Mouvement – « Je suis, Nous sommes… » de Crying Sailor, à découvrir (virtuellement) au muRum

Et si on profitait du confinement pour découvrir le travail de Crying Sailor ?

Malgré le confinement devenu nécessaire, est-il possible de se résoudre à ne plus découvrir de nouveaux artistes ? La réponse est simple non. Et la galerie muRum l’a bien compris en proposant une nouvelle exposition : « Je suis, Nous sommes… » de Crying Sailor

Une exposition virtuelle en version 360°, du « marin qui pleure » (Crying Sailor),  qui mêle tout à la fois dessin « traditionnel » et street art pour le plus grand plaisir des spectateurs.

À vos feutres avec le B.O.C.A (Book of Color art) un cahier d’œuvres d’artistes à colorier

Afin d’égayer un peu le confinement, la galerie a décidé de lancer le B.O.C.A en version numérique, afin de permettre au plus grand nombre d’en bénéficier.Une manière originale d’inviter les artistes de muRum, chez vous.

« Amis artistes, acteurs artistiques et culturels, amoureux de la création artistique sous toutes ses formes » vous êtes invités à exposer (virtuellement) à la galerie muRum, pendant toute la durée du confinement.

En pratique, la galerie lance un appel à projets, auprès des « amis artistes », « pour nourrir ces jours prochains de nouvelles expositions virtuelles et permettre à chacun de s’immerger dans la richesse des univers artistiques qui sont les vôtres. »Il est possible de contacter la galerie directement par courriel à : artiste@murum.fr

31 Mars 2020

Le Mouvement – Montpellier : Mahé et « ce qui nous lie » à découvrir (virtuellement) au muRum
Et si on profitait du confinement pour découvrir le travail de Mahé ?C’est la promesse (plus que remplie) que propose la galerie muRum. Qui a dit que confinement et découverte ne pouvaient pas aller ensemble ?À travers son exposition (virtuelle) « ce qui nous lie », l’artiste Mahé explore les rapports que l’homme entretient avec lui-même, avec autrui et son environnement. Ses tableaux questionnent avec une (presque violence) la place que nous occupons dans la société, face à ses normes, ses conditionnements et ses mécanismes conscients et inconscients.L’art est une vaste question. Pour l’artiste Mahé, l’art est avant tout une opportunité, celle de former un espace dans lequel chacun peut-être susceptible de se reconnaître, mais aussi une façon, pour l’artiste, de rappeler et de ne jamais oublier qu’il y a plus de ponts, que de murs, entre les hommes. Cette exposition originale peut être retrouvée : ici.« Amis artistes, acteurs artistiques et culturels, amoureux de la création artistique sous toutes ses formes » vous êtes invités à exposer (virtuellement) à la galerie muRum, pendant toute la durée du confinement.En pratique, la galerie lance un appel à projets, auprès des « amis artistes », « pour nourrir ces jours prochains de nouvelles expositions virtuelles et permettre à chacun de s’immerger dans la richesse des univers artistiques qui sont les vôtres. »Il est possible de contacter la galerie directement par courriel à : artiste@murum.fr

31 Mars 2020

L’Art Vues – muRum propose une nouvelle exposition virtuelle en ligne
Pendant le confinement, muRum, lieu d’art innovant en plein quartier des Beaux-Arts à Montpellier, fait lui aussi entrer l’art dans nos salons. Déjà, il avait proposé une exposition virtuelle à 360° : Face 2 Faces, une promenade au coeur des oeuvres de Labaud.Cette fois-ci muRum nous invite au coeur d’une nouvelle exposition : Ce qui nous lie, de Mahé. A travers votre écran, vous découvrirez l’univers sensible de ce peintre, dessinateur et graveur.« Prendre ses pinceaux, écrire des mots, tracer des corps et des visages reviens pour Mahé à fouiller l’âme et le cœur. C’est une tentative de faire surgir ce qui est là, présent en chacun de nous et d’exprimer que par delà les différences, la richesse et la beauté résident dans ce que nous avons en commun, dans ce qui nous lie. » Pour visiter l’exposition depuis votre canapé, c’est par ici !

30 Mars 2020

Métropolitain Montpellier – Montpellier. MuRum : des expositions virtuelles comme nourritures artistiques au confinement

L’exposition virtuelle « Face 2 Faces » de Labaud, est la première de MuRum. Un appel à projet est lancé pour en proposer d’autres.

L’exposition éphémère de Labaud avait été programmée pour être visible au MuRum à Montpellier du 20 au 29 mars. Elle a été annulée comme toutes les autres ainsi que  tous les événements culturelles de France pour cause de confinement.

Malgré la situation, Pablo et de Fred Nery, les fondateurs de « MuRum », un projet de lieu de création basé sur l’échange et la rencontre entre les artistes,  n’ont pas laissé de côté l’idée de présenter cette exposition au public. Pour cela, ils ont décidé de la mettre à disposition du grand public virtuellement et en version 360° sur le site murum.fr

« Suite au report de l’exposition « FACE 2 FACES » de Labaud, nous avons décidé de la faire découvrir en version 360°, et d’inviter le public à se promener au fil de l’univers et des œuvres de l’artiste » explique Fred Nery. Une occasion de « mettre l’Art en partage ».

« Nous avons également décidé de proposer très régulièrement, et dès les jours prochains, d’autres artistes au travers d’expositions individuelles ou collectives » complète Pablo.

Appel à projets

Pour mettre en place de nouvelles expositions virtuelles et permettre à chacun de s’immerger dans la richesse des univers artistiques, les artistes, les acteurs artistiques et culturels, les amoureux de la création artistique sous toutes ses formes sont invités à présenter leur projet. Ils seront, en cas de sélection présenté sur le site de MuRum. Les propositions de projets sont à envoyer par mail à artiste@murum.fr

Labaud, référence aux figures, à la face cachée de chacun

Ancien atelier de mécanique automobile, au cœur du quartier des Beaux-Arts, MuRum s’est transformé en un lieu dédié à la création artistique dont l’ambition est de valoriser la richesse de notre territoire et de promouvoir un artiste local. L’exposition préparée par Labaud est unique en son genre.

L’artiste montpelliérain, de retour de Berlin, y présente une collection de portraits entre peinture et sculpture. Une évolution du visage au masque qui questionne sur les apparences derrière lesquelles l’être humain se cache.

« Mon travail fait référence aux figures, à la face cachée de chacun.  La figure est ici iconographie sociale, symbole sexuel, fantasme esthétique… ».

Ses personnages sont là pour surprendre, interpeller, interroger le regard de l’autre. Que le personnage soit seul ou au milieu d’une foule, il s’agit toujours d’aller au-delà des apparences, de traduire les règles sociétales, de dévoiler, de traverser le miroir pour exposer une vérité autre.

Un grand théâtre de la persona et de ses identités multiples dans lequel Labaud questionne sur l’importance et le poids du regard de l’autre et le chemin d’un détachement de cette emprise. En funambule espiègle, il travaille le chaos, les émotions, le vivant par des jeux d’extraction et d’agrégation de figures – visages.

27 Mars 2020

Le Mouvement – Covid-19 : Appel à projets pour des expositions virtuelles à Montpellier

La galerie muRum lance un appel aux « amis artistes, acteurs artistiques et culturels, amoureux de la création artistique sous toutes ses formes ».

En pratique, la galerie lance un appel à projets, auprès des « amis artistes », « pour nourrir ces jours prochains de nouvelles expositions virtuelles et permettre à chacun de s’immerger dans la richesse des univers artistiques qui sont les vôtres. »

Pour l’équipe de la galerie, le « salutaire confinement », ne doit « pas altérer notre volonté de proposer de nouvelles nourritures artistiques à vos appétits gourmets ou gourmands, et de mettre l’Art en partage et au cœur de la vie !!! »

Il est possible de contacter la galerie directement par courriel à : artiste@murum.fr

En parallèle, la galerie organise sa première exposition virtuelle, autour de l’univers et des œuvres de Labaud.

15 Février 2020

Midi Libre : “L’ancien garage et usine de carreaux fait sa mue pour les artistes”

Beaux-arts
Le muRum a ouvert ses portes au 5 rue d’Aubeterre

Je ne sais pas combien de fois j’ai passé le Kärcher pour enlever la graisse ! ” Pablo Néry en rigole. Avec son père et associé, Fred, ils ont mis cinq ans à trouver ce lieu atypique, qui ait “une âme“. Ils l’ont déniché au détour d’une petite artère au 5 rue d’Aubeterre exactement, aux Beaux-Arts. Ancienne usine de près de 300m2 où les ouvriers fabriquaient des carreaux de ciment, puis dépôt des 3Suisses, avant d’accueillir les autos du coins : pendant quarante ans, l’endroit a été un garage de mécanique générale. Et depuis l’été dernier, nouveau contre-pied, le 5 rue d’Aubeterre accueille des artistes. Pour des résidences, des performances, des ateliers… “L’objectif est de créer un écosystème qui renferme toutes les phases de la vie d’une oeuvre : la création, la production, la diffusion” explique Pablo. Street artistes mais aussi peintres, sculpteurs et autres apprécient et viennent taper à la porte. “Pour eux, c’est un lieu de vie. Beaucoup n’en vivent pas. Parfois, ils créent chez eux, entre le lit et le lavabo. Ici il cassent leur isolement, font des rencontres. En plus, le coté “dans son jus”, alternatif leur plait. J’ai eu des demandes d’un chorégraphe qui nous a contactés pour faire un test, une jauge ; un groupe de musique aussi qui voulait jouer dans une salle improbable“.
Restent deux détails à régler : trouver le modèle économique viable sur la base de subventions. Et finir les travaux. Au printemps, le muRum fermera quatre mois. L’inauguration officielle aura lieu à la rentrée 2020.

29 Janvier 2020

Le Mouvement – Montpellier : « Il paraît que nous sommes en guerre », samedi 11 janvier 2020 au muRum

muRum, ce « mur » latin de Montpellier, tout à la fois concept, état d’esprit, vision inspirante et lieu d’exception accueille, samedi 11 janvier 2020, une lecture théâtralisée et une performance picturale autour du texte de Pierre Terzian « Il paraît que nous sommes en guerre ».

Au-delà d’une simple lecture, ce texte qui n’est, ni vers, ni prose, ni confession, ni récit, ni texte frontalement politique, mais tout cela à la fois, offre un cri, un manifeste, un essai, avec un texte télégraphié, écrit dans l’urgence, daté du 1er décembre 2015, peu après les attentats du 13 novembre 2015. Avec une ponctuation simple et dérangeante : Une ligne, un point ; retour à la ligne.

« Il paraît que nous sommes en guerre » est un texte court de 40 pages, qui parle tout à la fois d’injustice, d’incompréhension, autour d’un « je » qui questionne, le « nous ».

Tout, ou presque, avait été dit sur cette tragédie. Jusqu’à la découverte en août 2019, du livre de Pierre Terzian, «  »Il paraît que nous sommes en guerre »qui met en exergue tous ces sentiments enfouis, classés presque rangés, dans les tréfonds de notre mémoire.

L’ancien atelier de mécanique automobile du quartier des Beaux-Arts de Montpellier, aujourd’hui entièrement dédié à l’émergence de talents, à la création artistique et à sa promotion se prépare à offrir, en ce début d’année, un électrochoc aux Montpelliérains.

« Il paraît que nous sommes en guerre » est proposée en lecture théâtralisée, par Jean-Pierre Roesel de Oro, Cie Les Valentins, et mis en rythme et en musique, soutenu par l’intervention graphique de l’artiste Pavan.

Infos pratiques : Samedi 11 janvier 2020 à 20h, « Il paraît que nous sommes en guerre », muRum, 5 rue d’Aubeterre à Montpellier – Réservations : www.murum.fr
10€ / 8€ (tarif adhérent)

10 Janvier 2020

L’art Vues – Montpellier : une performance théâtrale et picturale au muRum

Le 11 janvier, le muRum, lieu de création artistique au coeur d’un ancien atelier de mécanique automobile, propose une soirée où lecture théâtralisée et performance graphique en live vont se croiser. 

Face au public, le comédien Jean-Pierre Roesel – De Oro partagera la lecture d’un texte bouleversant : Il paraît que nous sommes en guerre. Ecrit par Pierre Tierzan après les attentats du 13 novembre 2015, cet opuscule de 40 pages n’est ni vers, ni prose, ni confession, ni récit, ni politique mais tout cela à la fois.

Une lecture théâtralisée mise en rythme et en musique mais aussi accompagnée par l’intervention graphique de l’artiste Pavan. Ce plasticien autodidacte pratique la peinture et la sculpture. Fils et petit-fils de maçon, il s’est éloigné des outils classiques pour aller vers une démarche visant à retrouver une expression brute de l’art.

Samedi 11 janvier à 20h au muRum – 5 rue d’Aubeterre à Montpellier. 

Réservation obligatoire et renseignements : murum.fr 

9 Janvier 2020

Lokko – Performance en état d’urgence au muRum

Le collectif artistique muRum vous propose d’assister à une double performance artistique : une lecture théâtralisée et une performance picturale en live dans son ancien atelier automobile des Beaux-Arts.

Une rencontre entre les artistes, Jean-Pierre Roesel – De Oro, comédien, Pavan, sculpteur, et Pierre Terzian, auteur de « Il paraît que nous sommes en guerre« .

Ce texte n’est ni vers ni prose, ni confession, ni récit, ni un texte frontalement politique mais tout cela à la fois. C’est aussi un cri, un manifeste, un essai, un appel plein d’espoir…

Un texte télégraphié, écrit dans l’urgence, après les attentats du 13 novembre 2015…

La soirée sera suivie d’un moment de partage et d’échange avec les artistes…

Réservations www.murum.fr
Nombre de places limitées

9 Janvier 2020

Midi Libre – Murum, ce nouveau lieu de vie à Montpellier qui décloisonne l’art

Rendez-vous ce samedi 11 janvier pour une double performance artistique, une lecture théâtralisée et une performance picturale en live.

Murum, ancien atelier de mécanique, est aujourd’hui un lieu dédié à l’art mais surtout à la création. Pablo et Fred ont eu à cœur de créer un endroit où l’artiste est au centre, pas uniquement une galerie d’exposition où seule l’œuvre finale compte mais un espace où l’ensemble du processus de création vit. “Murum combat l’exclusion des artistes isolés.”

En 2020, créer est un défi, en vivre encore plus. Murum répond à la problématique de l’isolement de l’artiste et à celle du manque de moyens techniques de ce dernier. En mutualisant les compétences et les moyens de production dans un lieu de résidence, Murum offre la possibilité aux artistes d’échanger, d’observer, d’essayer. Immergé dans un écosystème créatif, l’artiste vit, il grandit, respire, parle art.

Laisser le temps à l’artiste de “mûrir”

Le processus de création entraîne des doutes et interrogations, l’état d’esprit Murum est d’accompagner le créateur dans la réalisation de son œuvre en lui laissant le temps de “mûrir”. Véritable cité d’artistes, ce nouveau lieu de vie ré-unit les humains en invitant les artistes à sortir de leurs coquilles pour découvrir l’Autre.

À l’image du Bateau-Lavoir, résidence phares d’artistes du début du XXe siècle, Murum accueille toutes les formes d’art et de création au sein de ses murs, sans restriction. Un écosystème artistique favorisant la fusion et l’émergence des talents, où le parcours artistique grandit pas à pas.

Murum donne rendez-vous ce samedi 11 janvier pour une double performance artistique, une lecture théâtralisée et une performance picturale en live. Une rencontre entre les artistes, Jean-Pierre Roesel – De Oro, comédien, Pavan, plasticien, et Pierre Terzian, auteur de Il paraît que nous sommes en guerre. Un texte télégraphié, écrit dans l’urgence, après les attentats du 13 novembre 2015… Ce texte n’est ni vers ni prose, ni confession, ni récit, ni un texte frontalement politique mais tout cela à la fois. C’est aussi un cri, un manifeste, un essai, un appel plein d’espoir…

Murum, 5 rue d’Aubeterre, à Montpellier. Plus d’informations et réservations : www.murum.fr. Nombre de places limité.

29 Décembre 2019

Le Mouvement – Montpellier : « Il paraît que nous sommes en guerre », samedi 11 janvier 2020 au muRum

muRum, ce « mur » latin de Montpellier, tout à la fois concept, état d’esprit, vision inspirante et lieu d’exception accueille, samedi 11 janvier 2020, une lecture théâtralisée et une performance picturale autour du texte de Pierre Terzian « Il paraît que nous sommes en guerre ».

Au-delà d’une simple lecture, ce texte qui n’est, ni vers, ni prose, ni confession, ni récit, ni texte frontalement politique, mais tout cela à la fois, offre un cri, un manifeste, un essai, avec un texte télégraphié, écrit dans l’urgence, daté du 1er décembre 2015, peu après les attentats du 13 novembre 2015. Avec une ponctuation simple et dérangeante : Une ligne, un point ; retour à la ligne.

« Il paraît que nous sommes en guerre » est un texte court de 40 pages, qui parle tout à la fois d’injustice, d’incompréhension, autour d’un « je » qui questionne, le « nous ».

Tout, ou presque, avait été dit sur cette tragédie. Jusqu’à la découverte en août 2019, du livre de Pierre Terzian, «  »Il paraît que nous sommes en guerre »qui met en exergue tous ces sentiments enfouis, classés presque rangés, dans les tréfonds de notre mémoire.

L’ancien atelier de mécanique automobile du quartier des Beaux-Arts de Montpellier, aujourd’hui entièrement dédié à l’émergence de talents, à la création artistique et à sa promotion se prépare à offrir, en ce début d’année, un électrochoc aux Montpelliérains.

« Il paraît que nous sommes en guerre » est proposée en lecture théâtralisée, par Jean-Pierre Roesel de Oro, Cie Les Valentins, et mis en rythme et en musique, soutenu par l’intervention graphique de l’artiste Pavan.

Infos pratiques : Samedi 11 janvier 2020 à 20h, « Il paraît que nous sommes en guerre », muRum, 5 rue d’Aubeterre à Montpellier – Réservations : www.murum.fr
10€ / 8€ (tarif adhérent)

24 Septembre 2019

7 Septembre 2019

Metropolitain – Montpellier : Xperiment #1 – Ateliers éphémères, une vraie expérience au MuRum

Au muRum, dans le quartier des Beaux-Arts à Montpellier, s’organise des rencontres public et artistes, des ateliers autour des pratiques artistiques et une exposition éphémère.

Prenant place dans un ancien garage de mécanique automobile, au cœur du quartier des Beaux-Arts, muRum est un lieu pensé par les artistes, pour stimuler la création artistique. Si leur première exposition Friends a eu du succès auprès du public, c’est aujourd’hui dans le cadre de Xperiment #1 – Ateliers éphémères, que nous les retrouvons.

Une réelle expérimentation

 Avec Xperiment #1, le muRum propose une expérience plus proche des artistes et de leurs démarches de création artistique. Ces derniers s’empareront des ateliers pour y poursuivre leurs recherches, et mener plus avant leurs expérimentations.

Jusqu’au 21 septembre, le public pourra, de son côté, rencontrer les artistes autour de leurs créations, et participer à des ateliers liés aux pratiques artistiques des exposants. Pour clôturer le cycle d’expérimentations et de rencontres de la plus belle des façons, une exposition éphémère prendra place. Y seront présentées les œuvres créées dans le lieu.

Un lieu de création atypique

Au muRum, l’artiste tient le rôle principal. Bien au-delà d’une galerie traditionnelle, c’est un véritable écosystème artistique. Il s’impose en espace d’échange, de convergence, de création et de production, entre autres. Autrement dit : « un accélérateur de particules artistiques ».

MuRum est en pleine cohérence dans son projet d’un rapport de proximité qui s’établit entre le public, les œuvres, les artistes… voire les pratiques.

Xperiment#1 – Ateliers éphémères, rencontres tous les samedis de 17h à 22h, vernissage de l’exposition le 27 septembre à partir de 19h puis exposition jusqu’au 27 octobre, du mercredi au dimanche de 14h à 19h.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur murum.fr ou sur le facebook ou Instagram du lieu.

2 Septembre 2019

Le Mouvement – Montpellier : découvrir « muRum : Xperiment #1 »
À la suite de sa première exposition, muRum propose aux artistes de s’emparer de ses ateliers pour poursuivre leurs recherches, mener plus avant leurs expérimentations, et les partager avec le public tous les samedis.Les rencontres avec les artistes, autour de leurs créations, sont organisées, tous les samedis, de 17h à 22h.En fin de cycle d’expérimentation et de rencontres, une exposition éphémère sera organisée pour clôturer ce cycle d’expérimentations, en présentant les œuvres créées dans le lieu.

muRum, quésaco ?

Ancien garage de mécanique automobile au cœur du quartier des Beaux-Arts, le lieu a été transformé en « muRum », un espace dédié à la création artistique sous toutes ses formes, où l’artiste occupe, à la différence de bien des galeries, la place centrale.

En somme, un véritable écosystème artistique, proposant un espace d’échange, de convergence, de création, de production. En clair, un accélérateur de particules artistiques !

Infos pratiques : muRum, 5 rue d’Aubeterre à Montpellier
Jusqu’au 27 septembre 2019, chaque samedi, de 17h à 22h
Vernissage : vendredi 27 septembre à 19h
Exposition : 27 septembre 2019 > 27 octobre 2019, du mercredi au dimanche, de 14h à 19h
Artistes : CORINNE GALY | CRYING SAILOR | GRAZIELLA GOLF | KURO 222 | LE RANG D’HONNEUR MAGDALENA TAPE ART | MARA | NO LUCK TIERI TRADEMARK | …

8 Juillet 2019

Metropolitain -Montpellier. Pablo Néry, cofondateur du muRum : « Une démarche culturelle pluridisciplinaire »

Jusqu’à ce samedi 13 juillet, l’exposition artistique éphémère FRIENDS, investie le muRum. Un premier évènement en ce lieu qui réunit des artistes issus de divers univers de l’art

Prenant place dans un ancien garage de mécanique automobile au coeur du quartier des Beaux-Arts, à Montpellier, le muRumest un lieu pensé par les artistes, pour stimuler la création artistique. Avant les travaux qui y seront réalisés, FRIENDS offre à voir une exposition inspirée du lieu.

Véritable état d’esprit, muRum se veut être une plate-forme d’échanges et de rencontres, une vision inspirante de la création artistique, pluridisciplinaire, collaborative et connectée. Mais aussi, affranchie des frontières esthétiques et culturelles. Pour l’occasion, nous avons réalisé une interview du co-fondateur du muRum, Pablo Néry, pour essayer de saisir à la fois l’esprit du lieu, mais aussi ses ambitions futures.

Métropolitain : Quel(s) arts sont représentés ? (photographie, peinture etc.). 

Pablo Néry : À l’occasion de l’exposition FRIENDS, les arts représentés sont le street art, la peinture, et la sculpture. Dans le street art, nous avons différents styles qui suggèrent la diversité que l’on peut voir dans la rue. Notre volonté était de ne pas représenté un seul style mais bien une diversité.

Dans le cadre du projet muRum, nous allons beaucoup plus loin. Notre volonté est de ne pas seulement représenter les arts visuels, mais aussi la chorégraphie, le théâtre, la création textile, voire même la gastronomie, la pâtisserie, la création florale… Bref, d’avoir une démarche culturelle pluridisciplinaire, afin de regrouper tout se qui concerne la création artistique, et surtout de tisser des liens entre les différentes disciplines pour les faire travailler ensemble.

Quels sont les différents formats et les différents univers artistiques ? 

Pour l’exposition FRIENDS, les formats des oeuvres sont de petits pour certaines oeuvres de CRYING SAILOR à très grand pour des oeuvres de DES3, MARA, KURO 222, NO LUCK ou encore MERIADEG. Nous n’avons pas donné de limite aux artistes, l’oeuvre de NO LUCK sur le sol fait 70m2, c’est à mon sens l’exemple parfait de notre volonté de laisser les artistes s’approprier le lieu.

Les univers artistiques représentés sont très différents, il y a de la sculpture, une installation, de la peinture, du graphisme, des anamorphoses…

Comment s’harmonisent-ils, d’une part, entre eux et d’autre part, avec le lieu ?

L’exposition est une forme de melting-pot de ce que l’on peut retrouver dans la rue mais pas que. Des réunions préparatoires ont été réalisé afin que des liens entre les oeuvres existent. Par exemple MARA et KURO 222 ont réalisé une collab pour l’occasion. Par ailleurs, sur l’oeuvre de PBk, on voit une intervention de DES3. Ensuite, la sculpture de MERIADEG est amené a être investi par la création d’autres artistes. C’est vraiment là l’esprit que l’on veut donner à l’exposition et plus largement au projet muRum, un mélange pluridisciplinaire où l’on tisse des liens entre les différentes disciplines et les différents artistes afin de casser les barrières, et créer des ponts entre eux. Ce qui peut être qu’enrichissant pour les artistes, leurs oeuvres et bien entendu le public !

Quel est le ressenti collectif sur le lieu dans son état actuel et sa transition en un espace artistique fort ? A-t-il été une source d’inspiration pour les artistes ?

Le ressenti est très positif. Lorsque l’on rentre dans le garage, on est tout de suite absorbé par l’âme du lieu. Nous avons ressenti cela dès la première visite et ce sentiment nous habite toujours.  C’est un ancien atelier de mécanique, malgré que les voitures aient disparu, l’esprit de l’atelier n’a jamais quitté les lieux. Et les artistes comme le public le ressentent dès qu’ils passent la porte.

Notre volonté est de conserver cet esprit, voir meme de l’accentuer.  Le projet n’est pas de transformer le garage en galerie, mais bien en atelier. Un atelier est nécessairement une source d’inspiration. Pour l’expo, l’identité et l’âme du garage ont été une source d’inspiration forte. Les artistes ont voulu jouer avec les murs, avec ses défauts, ses marques, ses trous. L’ensemble de ces éléments qui peuvent être perçus comme des contraintes ont été transformé en force, en quelque chose d’unique par le regard artistique que les artistes ont su poser sur les murs.

Quel est le message que vous désirez faire passer ?

Le message que l’on souhaite faire passer est qu’il est important pour nous de donner les moyens de la création aux artistes. C’est pour cela que l’on souhaite créer un espace entièrement dédié à la création artistique. Il est nécessaire de valoriser la création et donc de fait l’émergence de l’art et d’artiste. Notre démarche se veut pluridisciplinaire car il est important pour nous de laisser une meme place à l’ensemble des pratiques artistiques. Par ailleurs, nous sommes très attachés à l’idée que des ponts, des passerelles entre les artistes et les disciplines doivent exister. L’isolement de l’artiste est par moment un mal nécessaire afin d’être pleinement productif, mais s’inscrire dans un écosystème de création nous semble important. À l’image de la Factory de Warhol, le fait de créer un écosystème est un élément fort qui insuffle une énergie créatrice bénéfique pour les artistes et immédiatement perceptible par le public.

Quelles sont vos ambitions futures pour le lieux ?

Dans l’attente du commencement des travaux, nous réfléchissons à proposer une expérience différente de l’exposition FRIENDS. Une expérience qui serait moins relative à une galerie mais plus à un atelier, donc pourquoi pas proposer une première résidence d’artiste, de mettre quelques machines de sérigraphie à disposition… En gros, mettre le lieu dans sa configuration finale, mais à petite échelle.

À l’issue des travaux, le lieu sera dans sa version définitive. Il sera composé avec un espace de convivialité / exposition, qui sera un lieu de rencontres entre artistes et  public. Ensuite, un espace de coworking créatif sera à disposition. Cet espace sera un lieu de travail, mais aussi d’échange et de partage. Ensuite, nous aurons un atelier de sérigraphie et deux grands ateliers artistes qui viendront parfaire l’écosystème que nous souhaitons créer : un lieu ou l’on crée, l’on produit et l’on diffuse. Nous avons conscience que nous ne pourrons pas tout faire dans un meme lieu. Notre volonté est des à présent de tisser des liens forts avec des structures existantes pour travailler ensemble et concevoir des partenariats qui soient bénéfiques pour les artistes et le public. La ville, la métropole de Montpellier et plus largement la région regorgent d’initiatives complémentaires, nous tendons la main à l’ensemble de ces structures, car nous pensons qu’un rapprochement ne peut être que bénéfique et profitable.

L’artiste y tient une place centrale, quelle sera celle du public ?

Bien entendu l’artiste a une place centrale car il est la condition première de la création artistique : il n’y a pas d’art sans artiste ! Mais l’artiste doit partager cette place centrale avec le public. Notre projet est qu’un rapport de proximité s’établisse entre le public, les oeuvres, les artistes… voire les pratiques.

> Pratique : FRIENDS, exposition jusqu’au 13 juillet du mercredi au dimanche, de 14h à 19h, MuRum, 5 rue d’Aubeterre quartier des Beaux Arts, Montpellier. Tel : 06.12.03.00.08 pour les jours et heures d’ouverture.

27 Juin 2019

Metropolitain – Montpellier : « Friends », la première exposition au muRum, futur atelier de création artistique

Le muRum, nouvel espace dédié à l’art à Montpellier, organise une exposition éphémère avant les travaux de réhabilitation de l’ancien garage automobile dans lequel il s’installe.

Derrière la porte de garage du 5 rue d’Aubeterre à Montpellier, en plein cœur du quartier des Beaux-Arts, se trame une aventure un peu spéciale. Ce vendredi 28 juin, les nouveaux propriétaires de l’ancien garage automobile, inaugureront leur première exposition dans le muRum, ce nouveau projet dont ils sont les créateurs.

Exposition éphémère, « Friends« , qui accueillera les visiteurs du 28 juin au 13 juillet 2019, réunit plus d’une douzaine d’artistes, venus habiller les murs de l’ancien garage de mécanique rebaptisé muRum, le mur en latin.

Le début d’une aventure artistique unique à Montpellier, menée par Pablo Nery et son père Fred, artistes dans l’âme depuis toujours.

Une exposition en guise de transition

Pendant plus de quarante ans, ce sont moteurs, pneus et voitures qui ont animé ce garage de près de 300m2, sous la direction de Jean-Baptiste Bérenguer. Aujourd’hui, il n’ y a plus ni outil de mécanique, ni odeur de peinture à carrosserie, mais l’âme du garage vit encore.

Et pour ne pas détruire son histoire en l’espace de quelques coups de marteau et de peinture, père et fils organisent une exposition éphémère, avant la réhabilitation des lieux.

Un peu comme une dernière révérence que l’on tire, avant que ce lieu ne fasse peau neuve. Un dernier clin d’œil aux quarante ans de vie précédents qui ont animé le bâtiment, avant de lui offrir une seconde vie d’atelier, celle de la création artistique sous toutes ses formes. « C’était un atelier, ça reste un atelier, rassure Fred Nery, l’esprit d’atelier ne quitte pas les lieux. »

Des artistes aux disciplines différents, même si le hasard fait qu’ils sont pour beaucoup issus du street art, se sont appropriés les lieux pour donner vie le temps d’une quinzaine de jours, au mur encore bruts. « Le but c’était de donner aux artistes la possibilité de s’exprimer, de s’amuser, détaillent Pablo et Fred Nery, qu’ils prennent du plaisir pour eux et qu’ils en donnent au public. »

Asto, Crying Sailor, Des 3, Kuro 222, La Gobi Family, Mara, No Luck, PBk, Street Cactus, Zb, Zoala et quelques autres dont le nom restera tu jusqu’au vernissage, ont joué le jeu.

Un accélérateur de particules artistiques

Encourager l’acte créatif, c’est l’objectif des nouveaux propriétaires des lieux. Derrière la porte blanche de garage, qui a longtemps été celle du mécanicien Jean-Baptiste Bérenguer, père et fils s’activent. Leur projet est grand : faire de l’ancien garage « encore dans son jus », un atelier de création artistique, à l’horizon début 2020.

Peintres, sculpteurs, photographes, chorégraphes « et pourquoi pas cuisinier », se réjouit Fred Nery, le muRum sera avant tout un lieu de partage et d’échanges, où le sujet principal sera l’art. « Quelle que soit sa discipline, chacun a un savoir-faire à partager », détaille Pablo Nery. L’idée est de casser les codes et les frontières entre l’œuvre, celui qui la crée et celui qui la regarde.

Un projet qui grandissait dans l’esprit de Pablo et de Fred Nery depuis quatre ans, lorsque l’été dernier, ils ont trouvé ce garage. « Ça nous a permis de recadrer un peu le projet, se remémorent-ils, mais le fond est toujours le même. » Les deux hommes s’amusent de la localisation de leur acquisition tout en y voyant un signe, « c’est important dans le quartier des Beaux-Arts de faire vivre… les beaux arts. »

Le partage avant tout

L’idée est de créer un lieu de création basé sur l’échange et la rencontre entre les artistes, mais aussi avec le public. Le projet est de diviser le garage en différents espaces, chacun accueillant une étape de la réalisation d’une œuvre, de sa conception à son exposition, en passant par sa fabrication, la boucle sera bouclée.

Il y aura donc un espace de coworking créatif, où les artistes pourront concevoir leurs œuvres, un atelier artisanal de sérigraphie pour produire des collections mais en quantité réduite, et deux ateliers pour la création en elle-même. Le public sera accueilli dans un dernier espace, « un pseudo concept store artistique« , explique Pablo Nery, où la dernière étape de la conception d’une œuvre prendra forme : sa diffusion.

En parallèle, des stages animés par les artistes, permettront la transmission du savoir au grand public.

En attendant que cet état d’esprit n’envahisse définitivement les lieux, rendez-vous ce vendredi 28 juin à 19h pour le vernissage de l’exposition Friends.

Vernissage Friends, vendredi 28 juin 2019 à 19h. MuRum, 5 rue d’Aubeterre à Montpellier. Exposition du 28 juin au 13 juillet 2019.